<div class="az-element az-container glazed" data-az-type="node|page" data-az-name="994|body" data-az-human-readable="Ym9keSBvbiBwYWdlICYjMDM5O0xhIHLDqWluZHVzdHJpYWxpc2F0aW9uIGRlIGxhIEZyYW5jZSA6IHVuIGVuamV1IGRlIGZpbmFuY2VtZW50IGNydWNpYWwgcG91ciBs4oCZYXZlbmlyIMOpY29ub21pcXVlJiMwMzk7" data-az-mode="dynamic">
<div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbe80lb9t9" data-azat-pid="gb98fuxmqt" id="gb98fuxmqt" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gblk0j19gg"><h1 style="text-align: center;"><span style="color:#0183bf;"><span style="font-size:36px;"><strong>La r&eacute;industrialisation de la France : un enjeu de financement crucial pour l&rsquo;avenir &eacute;conomique</strong></span></span></h1></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbvgkplthc" data-azat-pid="gbuj9m58i1" id="gbuj9m58i1" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbdzxb7nyk"><p style="text-align: center;"><strong>Agn&egrave;s VERDIER-MOLINI&Eacute;, </strong>Directrice de la Fondation iFRAP</p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbhbudnup6" data-azat-pid="gbq9zj9wnl" id="gbq9zj9wnl" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-button text-center hover-style-gbhq5khst2" id="gbhq5khst2"><a href="https://professionsfinancieres.com/sites/professionsfinancieres.com/file... type="button" class="az-button-content btn btn-default " style="margin-top:40px;color:#ffffff;border-color:#ffffff;background-color:#0183bf;" target="_blank">T&eacute;l&eacute;charger l'article</a></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gb1smcrtz8" data-azat-pid="gb7vk1m72p" id="gb7vk1m72p" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gb111qarmc"></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbtxhcgrlf" data-azat-pid="gb1jsqcnij" id="gb1jsqcnij" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbvkeluohw"><p style="text-align: justify;" class="lead"><span style="font-size:18px;">La d&eacute;gradation de notre balance commerciale, la d&eacute;sindustrialisation progressive de notre territoire et les d&eacute;fis li&eacute;s &agrave; l&rsquo;innovation et &agrave; la transition &eacute;nerg&eacute;tique imposent une r&eacute;flexion approfondie sur les leviers n&eacute;cessaires pour redresser la situation. Dans ce contexte, les enjeux de financement de la r&eacute;industrialisation ne peuvent &ecirc;tre ignor&eacute;s. Il ne s&rsquo;agit pas seulement de remettre l&rsquo;industrie en marche, mais aussi de garantir sa comp&eacute;titivit&eacute; face &agrave; des rivaux europ&eacute;ens et mondiaux de plus en plus redoutables. </span></p><p style="text-align: justify;" class="lead"><span style="font-size:18px;">Depuis 1974, la France s&rsquo;est progressivement d&eacute;sindustrialis&eacute;e. &Agrave; force de mauvaise gestion, et d&rsquo;incertitude, la part de l&rsquo;industrie dans le PIB fran&ccedil;ais a connu une baisse significative entre 1974 et 2022, passant de 28,8% &agrave; 16,8%, tandis que la part des services a augment&eacute; de 15%. Selon la Banque mondiale, la part du secteur industriel dans le PIB, m&ecirc;me si elle est &eacute;quivalente &agrave; celle du Royaume-Uni, est inf&eacute;rieure &agrave; la moyenne des pays de l&rsquo;Union europ&eacute;enne (UE), en particulier l&rsquo;Allemagne, qui est de 23,5%. </span></p><p style="text-align: justify;" class="lead"><span style="font-size:18px;">La France a pris &eacute;norm&eacute;ment de retard sur l&rsquo;Allemagne. En effet, l&rsquo;industrie manufacturi&egrave;re est l&rsquo;une des principales forces &eacute;conomiques de l&rsquo;Allemagne, qui y emploie 17% de l&rsquo;emploi total en 2024 contre 9,6% en France. De 1995 &agrave; 2024, la France a perdu 2 millions d&rsquo;emplois dans l&rsquo;industrie manufacturi&egrave;re. Rien qu&rsquo;entre 2010 et 2015, pr&egrave;s de 400 usines&nbsp;ont ferm&eacute; et 150&nbsp;000 emplois industriels ont &eacute;t&eacute; perdus. Les secteurs du textile, de la cok&eacute;faction et du raffinage, ainsi que de l&rsquo;extraction des mati&egrave;res premi&egrave;res ont &eacute;t&eacute; les plus touch&eacute;s, avec une perte d&rsquo;emplois comprise entre 57 et 76% par secteur (Droz-Georget, 2019). Plus r&eacute;cemment, l&rsquo;automobile a vu ses emplois reculer de 47% entre 1995 et 2024, la chimie de 27%. De plus, le secteur industriel comprend de nombreux sous-secteurs qui ont subi des pertes d&rsquo;effectifs de mani&egrave;re diff&eacute;rente. </span></p><p style="text-align: justify;" class="lead"><span style="font-size:18px;">Il a fallu attendre 2017 pour que le nombre d&rsquo;ouvertures d&eacute;passe celui des fermetures. Sur le premier semestre 2024, selon le barom&egrave;tre de L&rsquo;Usine nouvelle, les fermetures ou menaces de fermeture d&rsquo;usines ont de nouveau d&eacute;pass&eacute; les ouvertures de nouveaux sites industriels. Le magazine a r&eacute;pertori&eacute; 61 ouvertures depuis le d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e 2024, alors que 71 sites sont menac&eacute;s de fermeture ou d&eacute;j&agrave; arr&ecirc;t&eacute;s. Et la tendance au ralentissement des implantations de nouveaux sites ne fait que s&rsquo;accentuer. </span></p><p style="text-align: justify;" class="lead"><span style="font-size:18px;">Si notre industrie g&eacute;n&egrave;re un peu plus de 1000 milliards de chiffre d&rsquo;affaires par an, l&rsquo;industrie allemande en g&eacute;n&egrave;re le double&nbsp; ! Si la France avait 23% de son PIB en valeur ajout&eacute;e industrielle, comme l&rsquo;Allemagne et non 14%, nous n&rsquo;aurions pas 370 milliards de valeur ajout&eacute;e de l&rsquo;industrie dans notre PIB, mais 600 milliards soit 1,6 plus par rapport &agrave;&nbsp; aujourd&rsquo;hui!</span></p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbo2uv07bt" data-azat-pid="gbt7qyfzg8" id="gbt7qyfzg8" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gbq342iqrp"></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbm0dzhgii" data-azat-pid="gbexrn5rpt" id="gbexrn5rpt" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbafiuwiaa"><p class="lead" style="text-align: justify;"><span style="color:#0183bf;"><span style="font-size:18px;"><strong>Un d&eacute;ficit commercial structurel</strong></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size:18px;">Notre d&eacute;ficit commercial structurel s&rsquo;est amplifi&eacute; au fil des ann&eacute;es. Si l&rsquo;on se r&eacute;f&egrave;re aux chiffres les plus r&eacute;cents, le d&eacute;ficit commercial fran&ccedil;ais a &eacute;t&eacute; ramen&eacute; sous les 100 milliards d&rsquo;euros en 2023, apr&egrave;s avoir atteint un niveau record de 163 milliards d&rsquo;euros en 2022. Le principal responsable de cette situation est la d&eacute;gradation progressive de la balance commerciale des biens, un ph&eacute;nom&egrave;ne qui s&rsquo;est intensifi&eacute; depuis 2005. Cette faiblesse commerciale ne se limite pas &agrave; un simple d&eacute;ficit : elle t&eacute;moigne d&rsquo;une d&eacute;sindustrialisation continue qui nous place dans une position d&eacute;favorable par rapport &agrave; nos voisins europ&eacute;ens. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size:18px;">En 2023, la France a import&eacute; pour 731 milliards d&rsquo;euros de biens tout en n&rsquo;exportant que 607 milliards. Le d&eacute;ficit cumul&eacute; de la balance commerciale des biens de 2012 &agrave; 2022 atteint 1 196 milliards d&rsquo;euros, un r&eacute;sultat catastrophique qui place la France dans une position d&eacute;favorable par rapport &agrave; des pays comme l&rsquo;Irlande, l&rsquo;Allemagne ou l&rsquo;Espagne, qui connaissent des exc&eacute;dents commerciaux. Dans un monde globalis&eacute;, la faiblesse de la production industrielle a des cons&eacute;quences directes sur notre balance commerciale et sur l&rsquo;emploi.</span></p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbtlqx083u" data-azat-pid="gb8kl6ebtp" id="gb8kl6ebtp" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gbdxnjriah"></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbwf3gnkus" data-azat-pid="gbleu8a93v" id="gbleu8a93v" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbmxbefmr0"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size:18px;"><span style="color:#0183bf;"><strong>Un mod&egrave;le europ&eacute;en inadapt&eacute; et lenteur de l&rsquo;Union europ&eacute;enne</strong></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size:18px;">Le contexte europ&eacute;en joue &eacute;galement un r&ocirc;le essentiel dans la r&eacute;industrialisation de la France. La politique europ&eacute;enne, notamment avec la mise en place du Pacte Vert et les nouvelles normes environnementales, place une pression immense sur les industries. L&rsquo;objectif d&rsquo;une Europe 100% &eacute;lectrique d&rsquo;ici 2035 pour le secteur automobile d&eacute;stabilise gravement notre industrie. Ni la Chine ni les USA ne se sont impos&eacute; des r&egrave;gles aussi contraignantes. D&rsquo;une part, cela impose des investissements colossaux dans des infrastructures encore insuffisantes, notamment les bornes de recharge pour v&eacute;hicules &eacute;lectriques. D&rsquo;autre part, nos constructeurs se retrouvent confront&eacute;s &agrave; une concurrence &eacute;trang&egrave;re plus agile, notamment de la part des constructeurs chinois qui, &agrave; l&rsquo;image de MG4, proposent des mod&egrave;les &eacute;lectriques &agrave; des prix&nbsp;bien inf&eacute;rieurs &agrave; ceux des marques europ&eacute;ennes.</span></p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gb1hd03f7u" data-azat-pid="gbl0p8aj5s" id="gbl0p8aj5s" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gb490wrmul"></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gb76grh9wo" data-azat-pid="gbs9wn6n3n" id="gbs9wn6n3n" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbd60atalv"><p style="text-align: justify;"><span style="color:#0183bf;"><strong><span style="font-size:18px;">Les enjeux de la r&eacute;industrialisation : baisse de la fiscalit&eacute; et stabilit&eacute; &agrave; long terme</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size:18px;">La r&eacute;industrialisation de la France appara&icirc;t comme une n&eacute;cessit&eacute; absolue. Mais il ne s&rsquo;agit pas simplement de redresser un secteur, c&rsquo;est tout un mod&egrave;le &eacute;conomique qu&rsquo;il faut repenser. La r&eacute;industrialisation passe avant tout par une politique de r&eacute;duction des co&ucirc;ts de production et une simplification administrative permettant aux entreprises de retrouver leur comp&eacute;titivit&eacute;. En ce sens, une r&eacute;duction drastique de la fiscalit&eacute; sur les entreprises est essentielle. Aujourd&rsquo;hui, les pr&eacute;l&egrave;vements sur les entreprises en France repr&eacute;sentent 14% du PIB, contre 8,6% dans la moyenne de la zone euro. Cet &eacute;cart de 157 milliards d&rsquo;euros p&eacute;nalise nos entreprises face &agrave; la concurrence internationale.</span></p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbnz78kesh" data-azat-pid="gbrokgskh0" id="gbrokgskh0" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gbhlrm44r0"></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbxrn9fsy3" data-azat-pid="gbcpdkjipf" id="gbcpdkjipf" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gbvwe02bxg"><p><span style="color:#0183bf;"><strong><span style="font-size:18px;">Conclusion</span></strong></span></p><p><span style="font-size:18px;">Alors que 150 000 emplois sont menac&eacute;s en France&hellip; On se pose la question, peut-on encore esp&eacute;rer produire en France ? Ce n&rsquo;est pas un r&ecirc;ve impossible, mais cela demande de changer profond&eacute;ment le mod&egrave;le social fran&ccedil;ais. Si nous voulons &laquo; r&eacute;cup&eacute;rer &raquo; en France nos usines et au moins 500 000 emplois industriels parmi ceux que nous avons perdus depuis les ann&eacute;es 1980, nous avons &agrave; changer totalement le message vis-&agrave;-vis des investisseurs et des entrepreneurs. Pour l&rsquo;instant, nous leur passons le message que nous aimons surtout cr&eacute;er des normes et taxes le plus possible &agrave; la fois sur le capital et le travail. Il suffirait de faire passer le message inverse pour faire repartir les investissements et les embauches en France. &Agrave; condition de le vouloir et de comprendre que ce n&rsquo;est pas en surtaxant les hauts salaires et les revenus du capital que l&rsquo;on r&eacute;industrialise. Ni en multipliant les normes &agrave; tous les &eacute;chelons. </span></p><p><span style="font-size:18px;">La r&eacute;industrialisation de la France ne se fera pas sans une baisse des pr&eacute;l&egrave;vements obligatoires qui p&egrave;sent sur nos entreprises qui paient la totalit&eacute; de l&rsquo;&eacute;cart de pression fiscale avec la moyenne&nbsp;de la zone euro hors France. Notamment les charges employeurs sur les salaires et les taxes de production. Sans aussi un reflux des normes &agrave; la fois fran&ccedil;aises et europ&eacute;ennes. La date de 2035 par exemple pour l&rsquo;automobile 100% &eacute;lectrique doit sauter comme les amendes gigantesques pr&eacute;vues par la Commission europ&eacute;enne sur les constructeurs automobiles. Dans le contexte de guerre commerciale que nous subissons, il est temps de se rendre compte que le capital et le travail sont les cl&eacute;s pour produire en France et en Europe. Simplifier et mettre la fiscalit&eacute; au service de la cr&eacute;ation d&rsquo;entreprises et d&rsquo;emplois marchands ainsi que se poser la question de financer en partie nos retraites en capitalisation afin de pouvoir investir dans nos entreprises&hellip; Voil&agrave; les axes forts et incontournables ces prochaines ann&eacute;es</span></p></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gb25afhttl" data-azat-pid="gbsqe9q1c2" id="gbsqe9q1c2" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbenssk7wf" data-azat-pid="gbwtcspxk1" id="gbwtcspxk1" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gbxe5eg9gj"></div></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gb1jmym06c" data-azat-pid="gbypp2pesc" id="gbypp2pesc" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-text" style="" id="gb5hplf9in"><span style="color:#0183bf;"><strong><span style="font-size:18px;">Liste des 20 propositions pour r&eacute;industrialiser :</span></strong></span></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbamfxdn61" data-azat-pid="gbt2x8moa5" id="gbt2x8moa5" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-row row az-row--sm" style="" id="gbbdw69tsy"><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-2" style="" id="gbmtt4079p"></div><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-8" style="" id="gbdd2qqky0"><div class="az-element az-image" id="gbt36ft256"><img class="az-image-content " src="https://professionsfinancieres.com/sites/professionsfinancieres.com/file... alt="" title="" style="width: 100%;"></div></div><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-2" style="" id="gbsduzoqs6"></div></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbki8vcr2c" data-azat-pid="gbe53d6elb" id="gbe53d6elb" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbdtki6qsy" data-azat-pid="gbokv3brlo" id="gbokv3brlo" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><hr class="az-element az-separator" style="border: none;" id="gbicb7fabc"></div></div></div></div><div class="az-element az-section" style="" data-az-id="gbbdx3qyg7" data-azat-pid="gbyav3hvh1" id="gbyav3hvh1" data-azb="az_section"><div class="az-ctnr container" data-azcnt="true"><div class="az-element az-row row az-row--sm" style="" id="gb9pey6fhs"><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-2" style="" id="gbys230tyz"><div class="az-element az-image" id="gbiwak8gtl"><img class="az-image-content " src="https://professionsfinancieres.com/sites/professionsfinancieres.com/file... alt="" title="" style="width: 100%;"></div></div><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-8" style="" id="gbjz9751nn"><div class="az-element az-text" style="" id="gb2kenf0r8"><p><font color="#2980b9"><span style="font-size: 18px;"><b>Agn&egrave;s&nbsp;</b></span></font><span style="color:#0183bf;"><strong>VERDIER-MOLINI&Eacute;</strong></span></p><p><span style="color:#000000;"><span style="font-size:18px;">Directice de la Fondation iFRAP</span></span></p><p><br></p></div></div><div class="az-element az-ctnr az-column col-sm-2" style="" id="gb787vtw5f"></div></div></div></div><style><!-- .hover-style-gbhq5khst2:hover .az-button-content { color:#ffffff !important;border-color:#0183bf !important;background-color:#0183bf !important;} --></style>

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